







Ahmedabad, Gujarat
Principale ville du Gujarat elle occupe les rives du fleuve Sabarmati et compte plus de 5,5 millions d’habitants. Sur la rive ouest du fleuve, se trouve le Sabarmati Ashram, ouvert par Gandhi et qui fut son quartier général durant la longue lutte pour l’indépendance de l’Inde.












Udaipur, Rajasthan
Udaipur surnommée la » Venise de l’Orient » située en bordure du lac Pichola est une véritable oasis de verdure au milieu des terres arides du Rajasthan. Avec ses rues étroites aux maisons blanchies à la chaux, ses incroyables palais, son lac et les falaises boisées qui l’entourent, Udaipur est l’une des cités les plus merveilleuses d’Inde.



















Ranakpur, Rajasthan
Ranakpur est une petite cité située dans la chaîne des Ârâvalli qui doit sa notoriété au groupe de temples, majoritairement jaïns, et qui fait partie des cinq pèlerinages majeurs du jaïnisme.









Jodhpur la « cité bleue », Rajasthan
La vieille ville aux maisons bleues avec ses ruelles labyrinthiques est blottie au pied d’une forteresse d’une majesté sans égale, sans doute l’une des plus belles et des plus imposantes de l’Inde.
















Jaisalmer la « cité d’or », Rajasthan
Jaisalmer, la ville la plus proche du désert de Thar et du Pakistan possède une magnifique citadelle qui s’éléve tel un château de sable dans le désert du Rajasthan. Immense forteresse en grès doré du XIIe siècle aux remparts crénelés et aux tours ondoyantes. À l’intérieur, un superbe palais royal, des haveli (demeures traditionnelles) à l’architecture féérique, des temples jaïns finement sculptés et des ruelles étroites animées.

















Holi Méla (fête des couleurs) à Jaisalmer, Rajasthan
Holi mela ou fête des couleurs annonce l’arrivée du printemps. Elle est fêtée dans toute l’Inde durant deux jours au cours desquels on allume des feux de joie et l’on s’asperge mutuellement d’eau et de poudre colorée.















Le désert du Thar, Rajasthan
Le désert du Thar est une grande étendue semi-aride qui se trouve autour de Jaisalmer.











Bikaner, Rajasthan
Au nord du Rajasthan, plantée au cœur du désert du Thar, Bikaner est une ville fortifiée, protégée par une énorme forteresse.









Le temple de Karni Mata (temple des rats), Deshnok, Rajasthan
temple est connu pour ses rats, lesquels sont sacrés et traités en tant que tels, leur présence bénissant ceux qui fréquentent le temple, ce dernier leur accordant une religieuse protection.









Jaipur la « ville rose », Rajasthan
Capitale du Rajasthan construite à l’intérieur de hauts remparts, Jaipur est une ville harmonieuse aux maisons de couleur ocre et rose.
















Pushkar la « ville blanche », Rajasthan
Construit autour d’un lac sacré et entourée de collines, la charmante petite ville blanche est l’un des rares lieux en Inde où est consacré un temple au dieu Brahma.













Bundi, Rajasthan
La vieille cité de Bundi, exceptionnellement bien préservée, est située au pied d’une remarquable forteresse accrochée au flanc d’une montagne. Bundi a gardé un charme authentique et après avoir franchi l’une des monumentales portes de la ville, on se retrouve plongé dans l’Inde profonde.





















Le parc national de Kéoladéo, Rajasthan
Le parc composé d’étangs et de marais est considéré comme l’un des plus beaux sanctuairex d’oiseaux d’eau au monde. Il est inscrit au Patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1985.






Fatehpur Sikri, Uttar Pradesh
La citadelle de Fatehpur Sikri fut construite à partir de 1572 par l’empereur Akbar. Cette fantaisie architecturale est le fruit d’inspirations religieuses diverses : hindoue, musulmane, jaïne et chrétienne. Fatehpur Sikri, ville fantôme, est inscrite au Patrimoine mondial de l’Unesco.










Agra et le Taj Mahal, Uttar Pradesh
Située au bord de la Yamuna river, Agra possède avec le Taj Mahal du plus beau mausolée du monde. Chef-d’œuvre de l’empire moghol, monument musulman donc, est devenu l’emblème de l’Inde, terre des hindous.
Le Taj Mahal fut construit entre 1631 et 1653 à l’initiative du moghol Shah Jahan. 22 années de labeur furent nécessaires et 20 000 artisans mobilisés.
La légende dit que l’empereur, dans le chagrin du deuil, voulut édifier un monument à l’image de sa défunte épouse Mumtaj Mahal.
























La Kumbh Mela 2010 (15 mars) à Haridwar, Uttarakhand
La Kumbh Mela « fête de la cruche » est un pèlerinage hindou qui se produit tous les 3 ans, alternativement dans les villes saintes d’Allahabad, Ujjain, Nasik et Haridwar, formant un cycle de douze ans.
Selon la tradition, les dieux, en se battant pour posséder le nectar d’immortalité, ont renversé quatre gouttes qui sont tombées dans les fleuves des quatre lieux cités, devenus des lieux sacrés. Les pèlerins viennent de toute l’Inde, pour s’immerger dans le fleuve, le Gange à Haridwar. Ce bain aurait en effet la propriété de les nettoyer de leurs pêchers ainsi que ceux de leurs ascendants sur 88 générations.
Tous les douze ans a lieu la Maha Kumbh Mela, ou grande Kumbh Mela, à Allahabad. Plusieurs millions de personnes y prennent part ce qui en fait probablement le plus grand pèlerinage du monde. Les estimations considèrent que lors de la Maha Kumbh Mela en 2013, 100 millions de personnes se sont succédé sur les rives du Gange en six semaines.




































Rishikesh, Uttarakhand
Plantée sur les premiers contreforts de l’Himalaya, au bord du Gange, Rishikesh a acquis une notoriété internationale dans les sixties en recevant John Lennon et ses acolytes, venus découvrir la méditation transcendantale. Depuis Rishikesh est devenue la « capitale mondiale du yoga ».
On y trouve également un gigantesque pont suspendu et deux temples à 13 étages (le Swarg Niwas et le Shri Trayanbakshwar).












Le temple d’Or d’Amritsar, Punjab
Le somptueux temple d’Or d’Amritsar, un sanctuaire socio-religieux qui attire les sikhs du monde entier, mais aussi les hindous, les musulmans et les touristes. Les chants religieux qui résonnent perpétuellement dans l’enceinte et le recueillement des innombrables sikhs et pélerins nous entraînent inéluctablement dans un univers magique …

















New Delhi, Delhi
La capitale de l’inde est divisée entre New Delhi, dont la population est relativement aisée, et Old Delhi, bruyante, agitée, où l’on se balade au milieu d’une foule grouillante et où se trouve les principaux monuments moghols. Une ville pétrie de contradictions.


















Varanasi (Bénarès), Uttar Pradesh
Vanarasi (Bénarès) est la capitale spirituelle de l’Inde et principale ville sacrée de l’hindouisme. Le Gange qui symbolise les cheveux de Shiva a une fonction purificatrice. Se faire incinérer à Bénarès c’est aussi rompre le cycle des réincarnations et accéder au Nirvana. La frénésie religieuse a encore plus sa place ici qu’ailleurs en Inde. Le long des ghats, ces escaliers qui longent le Gange sur près de 7 km, on vient pour prier, se laver (se purifier), se raser (les femmes pèlerins font don de leurs cheveux au fleuve), jouer au cricket, laver son linge, faire l’aumône aux sâdhus, pratiquer le yoga, faire sécher des bouses de vaches et … y mourir !








































Darjeeling, Bengale-Occidental
Darjeeling, dont le nom vient du tibétain Dorjee-Ling (« Le lieu de la Foudre »), s’étale de 2000 à 3000 m, au milieu de magnifiques plantations de théiers, le tout au pied de l’Himalaya. On y cultive le thé – l’un des meilleurs du monde – depuis le XIXe siècle.















Calcutta, Bengale-Occidental
Extravagante et demesurée, Calcutta est l’une des villes les plus fascinantes de l’Inde, mais aussi l’une des plus troublantes pour le voyageur occidental. La misère est omniprésente à Calcutta, où près de deux millions de personnes sont sans-logis. Le trafic, hallucinant, génère une gigantesque pollution. La densité de population est, il est vrai, la plus élevée du pays avec 24 760 hab./km2 !
Le patrimoine architectural de Calcutta fait preuve d’une indéniable richesse, même si la plupart des édifices s’effritent, faute d’entretien. Enfin, Calcutta c’est aussi les taxis jaunes Ambassador, les coolies, les pousse-pousse sans oublier Mère Teresa.





























